Deux soeurs
Développé avec la participation de Maura Coughlin, chercheuse américaine, spécialiste du littoral breton et de la place des femmes dans les sciences et les arts au XIX e siècle.
Avec pour décor la Bretagne, le film va rendre compte de la vie artistique deux soeurs et deux artistes peintres Elodie La Villette et Caroline Espinet, à une époque où la lutte des femmes pour s’imposer dans la société est permanente.
Elodie La Villette suit le parcours classique d’un peintre professionnel, jalonnée de récompenses exposant à Paris, en province et aux Etats-Unis. Militante à sa manière, elle va s’engager dans la cause des femmes artistes, à travers l’Union des femmes peintres et sculpteurs et d’autres associations. Comme Berthe Morisot, elle fait partie des rares femmes à avoir mener une vraie carrière.
La parcours artistique de Caroline demeure plus discret. Malgré le caractère plus novateur de sa peinture, les récompenses et la réputation de celle qui restera toute sa vie attachée à Lorient sont régionales.
Elodie et Caroline ont en commun le passion la Bretagne et Portivy, leur port d’attache et le rendez-vous d’artistes et d’intellectuels où pouvaient se côtoyer Romain Rolland, Charles Vildrac ou Maxime Maufra. Portivy sera le fil conducteur de ce film.
Légende sonore
Une photo, un tirage optimal, un éclairage d’expert dans un lieu obscur. Devant, quelques chaises chaleureuses, chaque spectateur regarde l’image. Puis la voix du photographe se fait entendre. Libre court à l’auteur pour nous raconter l’histoire de sa photographie. Documentaire ou imaginaire, « la légende sonore » est un voyage subjectif dans une seule photographie.
Le pilote de la collection a été réalisé sur une photo de Cédric Martigny sur laquelle il conte toutes les strates de composition d’une image.
Photographie de la série Espace jeune réalisée en 2014 en résidence au Pôle arts plastiques de Cesson-Sévigné
Montage son : Valentine Gélin
Production : Au bout du plongeoir & Le CREA-Rennes
« Le travail photographique que je développe à Rennes, Cesson-Sévigné et Thorigné-Fouillard vise à représenter la manière dont les adolescents inventent un « faire ensemble » tout particulier et comment ils peuvent constituer des communautés d’actions unies autour de centres d’intérêts ou de passions communes. Le traitement photographique de ce travail consiste en des mises en scènes collectives au sein desquelles les personnes volontaires sont dirigées tels des comédiens dans une représentation théâtrale. »
L’île de Cézon
Il y a des îles que tous les robinsons du monde rêveraient d’habiter le temps des vacances.Nichée dans l’Aber-Wrac’h, une des plus belles baies du Finistère nord, l’île de Cézon en est une. Portrait court de l’île le temps d’un 14 juillet.
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En roue libre imagine aussi des micro dispositifs pour des événements artistiques et culturels dont : l’apéro-dés testés pendant les 25ème heures d’au bout du plongeoir
L’apéro-dés
Six faces et trois possibilités de gagner, trois de débourser. A vous de tenter votre chance et de jouer un verre avec ou sans alcool ! Une aventure proposée dans le cadre d’événements publics ou privés et initiée la première fois par l’association aux 25 heures d’Au Bout du plongeoir en septembre 2017.
Il suffit d’un bar, plusieurs pistes de dés et une roulette et un tapis. chaque visiteur lance le dé, s’il fait
1 : il paye un euro
2 : deux euros
3 : il donne 30 minutes de bénévolat dans la soirée ou paye trois euros
4 : il joue à la roulette et choisit SON numéro. S’il est sortant, il gagne au choix une bouteille de vin, une cruche de Spritz ou de jus de fruits, s’il perd : il paye son verre 4 euros
5 : il répond au quizz (de questions autour de l’alcool dans l’art) s’il réussit, il gagne un verre, sinon il paye son verre 3 euros
6 : il gagne son verre
Les règles et les montants des boissons peuvent varier selon le type de projet.